Jérôme Yvenat est né le 29 janvier 1749 à la ferme de Guizilien, dont les parents étaient propriétaires. Jérôme fut le premier des sept enfants du couple, Guillaume Yvenat et son épouse Marie Anne Landrevet, originaire de Collorec.
Si les deux plus jeunes, Yves et Pierre, ne vécurent que fort peu de temps, les quatre autres sont à l'origine de nombreux descendants présents à Brasparts ou dans la proximité de la commune :
- Marie Louise (1751-1788), épouse de Louis Falchier ;
- Yvonne (1753-1818), épouse de Hervé Falchier ;
- Joachim (1756-1831), époux de Marie Le Mével ;
- Anne (1758-1819), épouse de Paul Seven .
Initialement instruit par Jean Drouillard, recteur de Brasparts, Jérôme Yvenat poursuivit ses études au séminaire des Jésuites de Quimper et fut ordonné prêtre en 1776.
Au début de la tourmente révolutionnaire, Jérôme Yvenat était directeur et Professeur de morale au Grand séminaire de Quimper depuis 1790.
Les autorités du Finistère exigèrent très vite des prêtres qui remplissaient des fonctions publiques – curés, recteurs, vicaires et professeurs – le serment ordonné par le décret de l'assemblée nationale.
Chacun d'entre eux est tenu de prêter, en présence des officiers municipaux, du peuple et du clergé, le serment solennel de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d’être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l’Assemblée nationale et acceptée par le roi .
En mars 1791, le Pape condamne cette constitution ; l'Assemblée Nationale décida de punir les réfractaires. Le directoire du Finistère ordonna leur mise en arrêt et leur internement au château de Brest.
Comme ses collègues, Jérôme Yvenat refusa de prêter serment à la Constitution Civile du Clergé. Tous furent expulsés du Séminaire le 16 avril 1791.
Le 9 août suivant, il se trouve encore à Quimper , mais est interdit de fonctions publiques. Il contacte à cette époque le vicaire du Saint, M. Le Goff, et décide de quitter le nouvel évêché. Conscient de la menace d'arrestation, il rejoint Le Saint et se réfugie au Beuz.
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En 1793, Jérôme Yvenat se trouve toujours dans la région de Gourin et plus habituellement dans la trêve de la Trinité.
"Nous ignorons les raisons pour lesquelles M. Yvenat vint habiter les parages de Gourin. Peut-être à cause de ses rapports avec le clergé fidèle de ce pays qui prenait le mot d'ordre auprès de M. Liscoat, originaire de la ville de Gourin, peut-être en raison de ses relations avec M. du Laurent de la Barre, qui passa quelque temps à Trébrivant."
On voit d'après son interrogatoire que M. Yvenat rayonnait dans cette région. Plusieurs baptêmes et mariages ont été administrés par lui dans les différents quartiers de Gourin.
C'est à la Trinité cependant qu'il résidait le plus souvent, au manoir de Kerihuel, lequel appartenait à la famille de Kerhervé.
Pour éviter les dangers provoqués par l'administration révolutionnaire, Jérôme Yvenat ne sortait le plus souvent que la nuit pour aller administrer les sacrements ou célébrer parfois la messe dans un village. Une table servait d'autel, un linceul formait le rétable, , les fenêtres restaient ouvertes pour permettre d'échapper aux menaces ...
Le 11 juin 1793, les administrateurs du district du Faouët écrivaient au Département : "Nous avons reçu la dénonciation du District de Rostrenen relative au prêtre Yvenat qu'ils pensent au bourg de la Trinité sur notre territoire. Il est vrai que ce prêtre réfractaire y a demeuré quelque temps à notre insu, mais différentes recherches que nous avons faites de sa personne l'ont éloigné, et nous avons appris qu'il est présentement dans la trève de Trégornan dans le district de Rostrenen, avec d'autres confrères tels que Tulupin, Le Meslou et Le Roux.
Nous aurions une grande satisfaction que le district de Rostrenen se concerte avec vous pour arrêter ces rebelles et les empêcher de faire circuler leurs poisons". (signé Joseph Poyen, Ropert, Bargain, archives départementales du Morbihan)
En l'an III, un faux-chouan déclare au général Jaulin, à Carhaix, que le capitaine Salvar, chef de chouans, l'avait "assuré qu'il était intimement lié avec un prêtre réfractaire qu'il lui nomma Yvenat, habitant la commune de Langonnet, et que le même prêtre était leur homme de confiance, très utile à leurs expéditions."
Le 17 novembre 1797, Le Goarant, commissaire central du Faouet relatait une tentative infructueuse d'arrestation de Jérôme Yvenat au Commissaire de l'administration centrale du Morbihan :
"Citoyen, je fus instruit le 4 de ce mois que le prêtre Jérôme Yvenat était au lieu de Kerihuel (à 300 m du bourg de la Trinité) commune de Langonnet. J'en parlais à Bargain aîné, et de concert, nous requîmes la gendarmerie de s'y transporter. Craignant de le manquer, nous les engageâmes de passer par Plouray pour y prendre du renfort d'un guide sûr que nous leur indiquâmes pour y entrer de nuit. Par malheur les gendarmes ne purent entrer à Kerihuel que de jour, et le pigeon était parti. Leur voyage n'a pas été infructueux, s'étant saisis d'un fusil à deux coups et deux surplis."
Le "guide sûr" de Plouray indiqué par Le Goarant s'appelait Le Guilloux et habitait le bourg de Plouray. Il était surnommé Huitellic. Il fut tué par Le Barr, chef des chouans, le 6 mai 1798.
Jérôme Yvenat se tint caché dans la région de Gourin jusqu'à son arrestation en 1798.
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Traqué à diverses reprises sans succès, il fut arrêté le 21 floréal an VI (10 mai 1798) sur la route de Langonnet à Gourin, à un quart de lieue de Langonnet.
"Je soussigné, Charles-Joseph Soufflet, garde-champêtre du canton de Gourin et garde des forêts nationales de la ci-devant maîtrise de Carhaix, certifie que ce jour 21 floréal an VI, accompagné du citoyen Viaut, volontaire du second bataillon du 84e demi-brigade, 3e Cie, avoir remarqué sur la route de Langonnet, un homme de haute taille, vêtu à la mode des habitants de la commune de Langonnet, ayant un paquet sous le bras, et que je reconnus pour être Yvenat, prêtre émigré qui, à mon aspect et celui du dit Viaut, franchit le fossé pour fuir à travers champs du côté de La Trinité, que nous nous mîmes à sa poursuite en le sommant au nom de la loi de se rendre à nous, que, n'obéissant pas à nos sommations, nous redoublâmes le pas et l'atteignîmes, que Viaut ayant voulu saisir le dit Yvenat, celui-ci lui lança un coup de bâton, que moi Soufflet dit au dit Viaut, vu la résistance d'Yvenat, de lui tirer son coup de fusil, que le dit Yvenat se voiant couché en joue, et à bout touchant porta la main sur le bout du canon du fusil, que le défaut d'air fit crever du coup qui en partit. Qu'Yvenat en eut la main blessée et le dit Viaut fut atteint au front d'un éclat de son arme. Que moi Soufflet voyant le dit Viaut baigné dans son sang et prest à tomber de défaillance et craignant que le dit Yvenat en eût échappé, je lui portai un coup de fusil à l'épaule droite après lequel il se rendit et je m'emparai de ses effets dont il était saisi, consistant en un surplis, une étole, trois burettes de bois contenant des onctions, un petit Christ, deux rituels, un bréviaire et plusieurs feuilles volantes sur lesquelles sont inscrits des actes de baptêmes et de mariages qu'il a fait. Le tout enveloppé dans une mauvaise besace de toile ; après quoi, le dit Viaut et moi, conduisîmes le dit Yvenat au bourg de Langonnet où il y a de la troupe de la même demi-brigade du cantonnement et où j'obtins du commandant une escorte pour le conduire devant l'officier de police judiciaire du Faouet."
Trois mois après l'arrestation de l'abbé Yvenat, Soufflet sera assassiné à Roudouallec entre les villages de Keranquer et de Keranroux. Voici les détails que nous donne à cet égard une chanson humoristique composée par Guillaume Le Guern de Kerbleizec. Invité par l'agent Postollec à se rendre à Roudouallec "le jour du Pardon" pour assurer l'ordre, Soufflet y alla avec sa femme. Après avoir fait ripaille chez Postollec, il fut tué à son retour.Jamais son cadavre ne fut retrouvé. Les dix citoyens les plus riches de Roudouallec furent condamnés à verser 3.000 livres à la veuve Soufflet. La chanson met à l'adresse de celle-ci, sur les lèvres d'un prêtre constitutionnel de Guiscriff, ce trait réaliste :
Ar beleg R... a lavare d'ar c'hroeg kerez :
Ne ket c'hui ar genta nag an dirvéan intanvez ;
Mar d'eo maro Soufflet, greit buhan eur zonj all ;
Gant argant e groc'hen c'hui pezo sur eun all."
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Le 22 floréal an VI (11 mai 1798), Jérôme Yvenat fut interrogé par le juge de paix du Faouet , Bellanger :
"Devant nous, juge de paix du district du Faouet, s'est présenté Jérôme Yvenat, arrêté le 21 floréal à Langonnet.
- Quel est votre lieu de naissance ?
- Brasparts, canton de Pleyben, Finistère.
- Quelle est votre résidence ?
- Je n'ai aucune résidence fixe.
- Quels sont vos moyens de subsistance ?
- Je reçois la charité, partout où je vais on me donne en effet un morceau de pain.
- Depuis quand habitez-vous la Trinité ?
- Depuis environ 7 ans je suis dans les parages de la Trinité.
- Avez-vous fait le serment prescrit par la Constitution civile du Clergé ? Dans le cas de déportation, avez-vous fait les déclarations prescrites ?
- J'ai eu la connaissance des serments demandés au clergé et de la loi de déportation. Je n'ai fait aucun serment. Je n'ai fait aucune déclaration.
- Avez-vous reconnu le gouvernement républicain ? Avez-vous recommandé l'obéissance aux lois de la nation et à l'autorité républicaine ?
- J'ai toujours suivi mon Évangile qui s’accommode avec tous les gouvernements tant républicains que monarchiques. Je n'ai dit autre chose que des Pater et des De Profundis, qui sont des prières pour les vivants et pour les morts.
- Avez-vous été en liaison avec des émigrés et des chouans ?
- Je les ai vus communément venir à la Trinité et je parlais aux chefs qui, avant et après la messe, venaient à la sacristie dans le temps de la chouannerie.
- Avez-vous eu des liaisons et des correspondances avec les prêtres réfractaires comme vous ?
- J'ai bien vu quelques prêtres réfractaires et quelques fois répondu à ceux qui m'écrivaient.
- N'avez-vous pas eu connaissance de ceux qui ont assassiné le citoyen Le Corre ? (Pierre Le Corre, natif de Menez Bloc'h, en Langonnet, ancien curé d'office de Pont-Briand - Le Saint- et curé constitutionnel de Langonnet, fut tué par les chouans pour avoir prêté serment à la Constitution civile).
- Je n'étais pas à cette époque sur le terrain de Langonnet. J'étais au Beuz, trêve du Saint. Je ne connais pas les assassins de Le Corre. Je n'ai appris sa mort que peu de temps après.
- N'avez-vous pas eu connaissance de ceux qui ont tenté d'assassiner M. Le Monze, ci-devant curé de Langonnet, et qui ont pillé son ménage ?
- Je n'en ai eu aucune connaissance.
- N'avez-vous pas eu connaissance de ceux qui viennent d'assassiner le citoyen Guilloux, officier public de Plouray ?
- Je n'en ai eu aucune connaissance que par le bruit public.
- N'avez-vous pas eu connaissance des malveillants qui parcouraient les campagnes et surtout les environs de la Trinité ?
- Je n'en ai pas vu jusqu'à ce jour.
- Ne reconnaissez-vous pas Bonaventure Carré, chouan armé ?
- Je l'ai bien vu et le reconnais pour être vagabond.
- De quel droit exercez-vous les fonctions sacerdotales dans l'intérieur de la République, ne s'étant pas soumis à ses lois ?
- Je n'ai fait aucune fonction sacerdotale, si ce n'est quelques baptêmes et mariages, et j'ai aussi administré les malades qui se trouvaient sur mon passage, et le tout dans des maisons particulières.
On lui présente alors un paquet saisi sur lui, contenant bréviaire, rituel, etc ..., etc ... Sommé de reconnaître ces objets, M. Jérôme Yvenat les reconnaît comme lui appartenant et signe la bande de cire avec le juge de paix.
- Pourquoi avez-vous porté un coup de bâton au soldat qui voulait vous arrêter ?
- Je ne suis arrêté qu'au bout du champ. Je n'ai donné aucun coup de bâton à personne. Je reconnais le bâton, c'est celui que je portais."
(Signé : Yvenat, prêtre et Bellanger, juge de paix) (archives départementales du Morbihan)
"Le 24 floréal an VI, devant Joseph Mathurin Maillard, juge du tribunal civil du Département et directeur du jury d'accusation de l'arrondissement de Pontivy, adjoint Pierre Noël Bellec, greffier au tribunal correctionnel.
- Nom, prénom, profession, domicile.
- Jérôme Yvenat, prêtre, âgé de 50 ans, taille de 5 pieds 2 pouces, cheveux et sourcils noirs, barbe grise, yeux bruns et enfoncés, front moyen et menton plat, bouche grande et nez bien fait, demeurant ci-devant au Séminaire de Quimper et actuellement sans domicile fixe, originaire de la commune de Brasparts, canton de Pleyben (Finistère).
- Quelles sont les causes de votre arrestation ?
- J'ai été arrêté près du bourg de Langonnet, mais je ne connais pas les motifs de mon arrestation, parce qu'on ne m'en a jamais donné connaissance.
- Quelle commune habitez-vous ?
- Langonnet et les environs.
- Avez-vous prêté serment ?
- Non.
- Avez-vous produit acte de soumission ?
- Non.
- Avez-vous exercé vos fonctions sacerdotales ?
- Depuis environ la Saint-Michel dernière, je n'ai pas célébré la messe. Cependant j'ai baptisé quelques enfants, administré le sacrement de pénitence aux malades et aux mourants.
On lui présente bréviaire, rituel, registres... Il les reconnaît comme lui appartenant.
- Qui a délivré dispenses de bans pour mariages ?
- L'abbé du Laurans, ancien grand vicaire de Quimper.
- Avez-vous reçu des instructions pastorales de l'ancien évêque de Quimper ? En avez-vous donné lecture ? Avez-vous fait des discours ou accompli des actes pour troubler la tranquillité publique ?
- Non, dans mes discours particuliers, j'ai toujours prêché la tranquillité et la soumission aux lois.
- Avez-vous des liaisons ou des correspondances avec les émigrés et prêtres réfractaires ?
- Quelques-unes avec les prêtres.
- Avez-vous assassiné le citoyen Le Corre, ex-curé de Langonnet ? Avez-vous essayer d'assassiner Le Monze, curé de Langonnet ? pillé ses effets ? Avez-vous assassiné le citoyen Le Guilloux ?
- Je n'ai pas eu connaissance de ces forfaits. Je ne pense pas que ces délits ont été commis par des gens du pays.
- Connaissez-vous les malveillants qui parcourent la commune de Langonnet et les environs ?
- J'ai entendu dire qu'ils ont fait une ou deux courses dans les parages, mais je ne les connais pas.
On lui présente un bâton de chêne avec une massue au bout, couvert de sang. Il le reconnaît pour être le sien et que le sang dont il est imprégné provient de ses blessures.
- Comment et pourquoi avez-vous été blessé ?
- Le soldat l'ayant couché en joue, son premier mouvement fut de porter sa main gauche au bout du canon du fusil qui par l'explosion creva et le blessa à la main gauche, qu'au même moment le garde-champêtre lui tira un coup de fusil à plomb dont il fut atteint à l'épaule droite, ajoute qu'il n'a fait aucune résistance et qu'il ne frappa pas de son bâton.
(Signé Yvenat, prêtre, et Bellec, greffier )
Le 27 floréal (16 mai), fut signé un mandat d'arrêt à Pontivy par Maillard, ordonnant de conduire le prisonnier à la maison de justice du tribunal criminel du Département.
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Le 5 prairial (24 mai), l'Administration du Faouët écrit à l’Administration départementale, pour l'informer que le soldat blessé à l'arrestation d'Yvenat est mort, et demander des félicitations pour Soufflet, le garde-champêtre de Gourin.
Le 10 prairial an VI,
vu le procès-verbal d'arrestation,
vues les lois qui prescrivent aux prêtres de faire serment, de faire déclaration de sortir du territoire,
vu que Yvenat n'a fait aucune déclaration, etc ..., etc ...
vu la lettre du ministre de la Police du 30 germinal dernier (20 avril 1798), portant que les ecclésiastiques qui doivent être déportés seront dirigés vers la citadelle de l'île de Rhé,
l'administration départementale considérant que le dit Jérôme Yvenat ne s'est conformé aux lois de la République qui l’assujettissaient à un serment, le commissaire du district entendu, arrête que le dit Yvenat sera déporté et conduit à cet effet dans la citadelle de Rhé.
Condamné à la déportation par le Tribunal Criminel du Morbihan (arrêté de l'administration centrale du Morbihan du 10 Prairial an VI - 29 mai 1798), Jérôme Yvenat fut conduit à l'île de Ré le 6 août 1798 .
Enfermé dans la citadelle, il rejoignit près de douze cent prisonniers : l'espace occupé était si insuffisant pour tant de détenus que plus d'un quart logeait dans les greniers, sous les tuiles. Leur nourriture n'était pas meilleure que leur logement ; on leur donnait des haricots, des fèves et de la merluche, de mauvaise qualité. Ils n'avaient de viande qu'une fois tous les dix jours, et les gardes leur en apportait le vendredi. Une provocation par rapport à la la règle des catholiques par rapport à l'abstinence, à tel point que les prisonniers demandèrent que les vivres furent apportés crus... Les prêtres prisonniers trouvèrent les moyens de pouvoir célébrer la messe dans leur prison...
Jérôme Yvenat n'eut pas de chance : il mourut le 21 mars 1801, quelques temps avant la signature du Concordat ...
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Généalogie de Jérôme Yvenat
Génération 1 :Jérôme Yvenat, né à Guizilien Braparts le 29 janvier 1741
décédé le 21 mars 1801 à l'île de Ré
Génération 2 : 2. Guillaume Yvenat, cultivateur de Guizilien en Brasparts
né le 12 novembre 1724 à Guizilien en Brasparts
décédé le 14 avril 1809 à Guizilien en Brasparts
marié le 21 février 1748 à Brasparts
3. Marie Anne Landrevet, ménagère en Guizilien
née le 8 mars 1728 à Collorec
décédée le 16 juin 1774 à Guizilien en Brasparts
Génération 3 :4. Hyérosme Yvenat, né vers 1704 à Guizilien en Brasparts
décédé le 19 octobre 1770 à Guizilien en Brasparts
marié le 16 avril 1722 à Brasparts
5. Anne Le Bourlaix, née le 29 mai 1688 à Guizilien en Brasparts
décédée le 21 août 1757 à Guizilien en Brasparts
6. Hervé Landrevet, né le 20 juin 1705 à Plouyé
décédé le 1er mars 1771 à Plouyé
marié le 16 février 1727 à Collorec
7. Suzanne Morvan, née le 9 avril 1707 à Collorec
décédée le 15 mai 1783 à Collorec
Génération 4 :8. Henry Yvenat, né le 28 septembre 1659 à Lopérec
décédé le 18 mars 1709 à Guizilien en Brasparts
marié le 28 novembre 1691 à Brasparts
9. Constance Le Goff, née le 2 avril 1655 à Brasparts
décédée le 21 janvier 1714 à Kerfancq en Brasparts
10. Jean Le Bourlaix, né vers 1642 à Brasparts
décédé le 12 février 1722 à Guizilien en Brasparts
marié vers 1673 à Brasparts
11. Marie Kerdilès, née le 10 avril 1653 à Lopérec
décédée le 1er avril 1721 à Guizilien en Brasparts
12. Guillaume Landrevet, né le 21 décembre 1671 au Faouet
décédé le 30 juin 1736 à Plouyé
marié le 2 octobre 1691 à Motreff
13. Marguerite Macé, née vers 1673 à Motreff
décédée le 2 juillet 1736 à Plouyé
14. Joseph Morvan, avocat à la Cour, né vers 1678 à Collorec
décédé le 4 février 1728 à Collorec
marié le 15 février 1703 à Collorec
15. Françoise Le Clech, née vers 1678 à Collorec
décédée le 10 avril 1736 à Collorec
Génération 5 : 16. Yvon Yvenat
17. Françoise Guidal, née vers 1629 à Lopérec
décédée le 1er octobre 1689 à Lopérec
18. Jacob Le Goff, né le 5 août 1609 à Pont-Croix
décédé le 23 août 1683 à Creac'h Coleden en Brasparts
19. Jeanne Pichon, née le 15 novembre 1624 à Brasparts
décédée le 21 juillet 1682 à Creac'h Coleden en Brasparts
20. Yves Le Bourlaix, notaire royal
21. Françoise Le Baud
22. Mathurin Kerdiles
23. Adelice Elies
24. Vincent Landrevet, huissier, né vers 1642 au Faouet
décédé le 3 avril 1680 au Faouet
25. Suzanne Le Roux
26. Pierre Macé
décédé le 26 novembre 1685 à Motreff
27. Marie Le Michen
décédée le 6 janvier 1707 à Motreff
28. Hervé Morvan, avocat à la Cour
29. Marguerite Le Corre, née vers 1652 à Collorec
30. Jacques Le Clech
31. Suzanne Cadiou