En réponse à la polémique lancé par Monsieur Le Dreau, je voudrais rappeler à tous que bien des chemins n'existeraient pas ou plus si les propriétaires de chevaux et cavaliers de la commune dont je fais partie depuis plus de 40 ans n'avaient pas contribué au défrichage, voir à l'ouverture de ces chemins. A une époque ou les journées "débroussaillage" n'existaient dans l'esprit de personne, mon père et moi étions déjà à pied d'oeuvre pour rendre ces sentiers praticables (par tous!).
A une époque ou nous avons tous malheureusement tendance à nous référer aux "communautés" en tous genres, de préférence celles qui divisent, ne pourrait-on pas pour une fois, plutôt s'unir au profit de tous? Je ne veux pour ma part, être catégorisée. Je monte à cheval, certes, mais je marche aussi; l'hiver, je met des bottes! Il me semble d'ailleurs n'avoir jamais rencontré Monsieur Le Dreau dans les chemins, ni se promenant, ni armé d'une faucille.
Peut être que le conseil municipal devrait pousser la réflexion sur l'union plutôt que la division, les sujets philosophiques sont souvent nécessaires pour faire avancer le monde.