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 La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS

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2 participants
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kelenn

kelenn


Nombre de messages : 48
Localisation : Saint Brieuc
Date d'inscription : 25/12/2009

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MessageSujet: La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS   La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Icon_minitimeMer 14 Nov - 23:01

Histoire inouïe, merveilleuse et véridique de la très vénérable secte braspartiate des « DOUILIENS ».
 
Nous étions donc sous le règne bienveillant de Monseigneur Fauvel évêque de Quimper et de Léon dont la haute stature emmitrée était aperçue ( avec la vénération qui s’ imposait ) par les braspartiates, une fois l’ an, lors des confirmations qui voyaient affluer toute la campagne environnante accompagnant les postulants à la gifle sacrée. L’ apostolat dévoué de son humble pasteur, l’ abbé Belbéoc’h, réglait la vie quotidienne du bourg ( « Braz Partz » : la « grande paroisse » selon certaines étymologies ) rythmée par une religion qui, par ses rendez vous rituels, ponctuait une année toute entière placé sous le signe du divin. A peine étions nous sortis du ravissement de Noël, ses cadeaux enrubannés, et la merveilleuse crèche réalisée au transept gauche de l’ église à grand renfort de mousses, faux rochers, et personnages Saint sulpiciens, que se profilait déjà le cortège embaumé d’ encens des rois de l’ épiphanie.
 
La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Eglise14
 
Les enfants du catéchisme - dûment chapitrés par un vicaire qui dépassait bien son quintal et demi, soutane et crucifix compris, motocycliste à ses heures, saint homme pétri de religion et de Harley Davidson - s’ entraînaient au chant de circonstance :
 
« Melchior et Balthazar, sont, sont, sont ( ter) rev’nus d’ Egypte !
Melchior et Balthazar, sont rev’ nus d’ Egypte avec le roi Gaspard !… »
 
La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Roisma11
 
 
Sous le regard sévère des docteurs de l’ église flanqués d’ animaux fabuleux qui ornaient la sacristie, série de tableaux anciens aux couleurs naïves, grouillant d’ un bestiaire fantastique, les jeunes paroissiens braillaient avec conviction cet air entraînant qui avait parfois des allures de rock and roll, tant l’ enthousiasme des jeunes catéchumènes était sublimé par ces extraordinaires récits bibliques aux senteurs exotiques. Le carême pénitentiel, était suivi de la grande joie des rameaux, et sa bénédiction des buis dérobés à la haie du patronage,…ah ! l’ inoubliable impression de bénéficier d’ un dessert gratuit au cours de la messe de Pâques lors de la distribution du pain bénit ! La longue théorie des premiers communiants aux allures de cortèges de noces tournait autour de l’ enclos paroissial, cette festivité aux relents païens donnait lieu sur le coup de midi à des banquets pantagruéliques d’ où les convives sortaient congestionnés et somnolents pour assister béats à de bien calmes et digestives vêpres…Cette longue succession de rites cadençait des vies encadrées par des repères incontournables, amers salvateurs propres à rassembler le marin égaré vers des écueils profanes et à indiquer à la brebis perdue le chemin du salut et des félicités éternelles…
 
La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Bannia11
 
Les statues de l’ église se drapaient mystérieusement de violet à Pâques et les cloches dont on pouvait pourtant voir la présence dans la fine résille du clocher étaient parties à Rome, foi de sacristain ! …..inexplicable mystère pour des enfants qui n’ en croyaient pas leurs yeux. L’ année étant ainsi jalonnée par de grands rendez vous mystiques qui donnaient l’ occasion à la communauté braspartiate de retrouver le chemin de la merveilleuse arche de dentelle grise, balise salvatrice du chrétien tenté par des chemins de traverse. Il faut dire que l’ église catholique de la période d’ avant Vatican II baignait dans une aura de mystère et de magnificence rituelle qui convenait parfaitement à l’ esprit celte tout entier pénétré de surnaturel et de fantasmagorie. La cérémonie du salut célébrée en fin d’ après midi voyait le prêtre engoncé dans sa chasuble raidie de fils d’ ors monter à l’ autel auréolé de vapeurs d’ encens, entonner des psaumes en latin, le contrepoint aigrelet des enfants de chœur, damier rouge et blanc servant de répons à l’ organe surpuissant du chantre de service, négociant en vins de son état, qui assurait également avec brio le rôle de chef des pompiers. Cette voix de stentor dont la nature avait doté le cher homme suppléait d’ ailleurs parfaitement aux défaillances périodiques de la sirène lors des alertes au feu. Tournant résolument le dos à l’ assistance, l’ officiant se livrait à des manipulations mystérieuses et compliquées à base d’ escamotages de burettes et autres patènes, dans la pénombre complice de ces colonnes baroques et torsadées aux faux airs de baldaquin de Saint Pierre de Rome. Ne se tournant qu’ épisodiquement, et comme à regret, vers une assistance à dominante féminine, il incitait ses ouailles dans un geste ample, à vénérer un seigneur tout puissant, et redouté, qui attendait inflexiblement son quota quotidien d’ hommages. Les coiffes de Brasparts aux fines antennes frémissantes s’ inclinaient avec un bel ensemble au son de sonnailles agitées avec frénésie par les enfants de chœur ravis de déclencher un tel carillon.
 
La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Calend10
 
 
A la sortie de l’ office, l’ ensemble de l’ assistance allait faire un brin de causette à ses morts, franchissant sans crainte et dans une familiarité bon enfant, le terrible portail qui marquait l’ entrée du champ des trépassés, flanqué de deux piliers ou veillaient deux effrayants grands ducs, hiératiques et solennels, terreur des gamins du village qui leur préféraient largement l’ autre côté de ces piliers orné d’ une simple urne funéraire…
La fête dieu donnait lieu à la mise en place de tapis fleuris tout au long d’ un parcours immuable allant de l’ église à la place Saint Barbe, via la place des halles, la descente était risquée place des monts d’ Arrée , le vent coulis soufflant de la rue de la fontaine occasionnant de brusques écarts chez les porteurs de bannières dont la réputation de force musculaire était en jeu ! Sous un dais étincelant de paillettes d’ or, le prêtre s’ avançait, le visage dissimulé derrière un ostensoir brandi comme un manifeste, dispersant au passage les tableaux fleuris réalisés à même le sol par les riverains de la procession. Enfants de Marie, et paroissiens faisaient une halte réparatrice devant les reposoirs confectionnés par certains fidèles à grand renfort de draps immaculés et de gerbes de fleurs des champs….
Mais la référence en matière de fête Dieu était celle organisée par le lycée agricole du Nivot les chemins fleuris réalisés par les élèves surpassant tout ce qui pouvait se faire de mieux dans le secteur, la ferme modèle brillait comme un sou neuf, et on pouvait après la procession et la messe en plein air, goûter à un élixir mystérieux a base de ….cresson ( !) préparation fortement alcoolisée soigneusement concoctée par l’ un des frères enseignants, dont on prétendait qu’ il ne pouvait être bu qu’ à trois : un buveur, et deux personnes pour le tenir !!......A cette époque ( les années 50 ) les ecclésiastiques circulaient encore revêtus de leur habits sacerdotaux, et l’ une des attractions de l’ été au bourg consistait pour les enfants à deviner la présence des membres surnuméraires dont étaient censés être dotés les fameux « frères quatre bras » qui venaient chaque année encadrer une colonie de vacances à l’ école Saint Michel. Grande fut ma déception bien des années plus tard d’ apprendre que ce nom leur venait simplement des collets multiples qui ornaient leur soutane !
Les périodes de grande sécheresse étaient l’ occasion d’ implorer le créateur de toutes choses et ses escadrons de saints afin que des ondées bienfaitrices viennent arroser les germinations espérées. Ces processions qui se passaient généralement tôt le matin empruntaient un circuit court au centre du bourg, et s’ apparentaient à un véritable marathon où certaines paroissiennes moins alertes se faisaient rattraper plusieurs fois au fil des tours de l’ îlot central autour duquel s’ articulait le village. Le tout mené à un rythme d’ enfer ( si l’ on peut dire ! ) et sur un air au swing endiablé ( si l’ on peut se permettre ! ) avec la noire à au moins 160 comme diraient des musiciens…..
 
La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Musiqu12
 
 
Toute la litanie des saints dont beaucoup ne figuraient pas dans le Panthéon du Vatican était invoquée, avec plus ou moins de succès selon les saisons.
Mais venons en à ce coup de tonnerre qui ébranla la foi de cette paroisse modèle et qui fit craindre à la hiérarchie ecclésiastique que d’ antiques croyances et des dieux oubliés ressurgissent soudainement du Yeun Elez. De quoi ébranler la hiératique statue du roi Gradlon qui, perché sur son destrier de granit veillait de son ombre tutélaire sur l’ évêché de Cornouaille des crêtes granitiques des monts d’ Arrée aux rivages écumants de la pointe du Raz…..
Toute cette ténébreuse affaire naquit un jour d’ une séance de catéchisme. Madame Armande S…L…la dévouée catéchèse avait comme d’ habitude initié ses turbulentes ouailles aux méandres compliqués de la généalogie biblique et esquivé avec habileté les questions insidieuses sur la procréation miraculeuse de ces docteurs de l’ église archi centenaires qui, malgré leur âge avancé, engendraient une abondante progéniture aux noms bizarres et alambiqués. C’est alors qu’ elle posa la question fatidique qui fit peser sur la paroisse un soupçon d’ hérésie héritée d’ un lourd passé de montagnards farouches, peuplade reculée prompte à exhumer les croyances païennes de ses lointains ancêtres…..
 
La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Proces13
 
 
Poursuivant donc avec application sa sainte mission, la catéchèse demanda à ses élèves : « quel est le nom de Dieu ? »
Un silence perplexe suivit la question. Certes les enfants étaient confrontés régulièrement à l’ évocation du nom du seigneur, surtout lors des séances d’ après-boire des francs-buveurs braspartiates. Mais, s’ il était régulièrement et triplement mentionné dans les tonitruances des amateurs de cidre, le nom en question n’ était jamais prononcé. Aussi, est ce dans un silence général que le jeune Marcel, dont on n' attendait pas la contribution au débat, car il était généralement plus préoccupé de savoir quand il allait pouvoir regagner ses terrains de jeu favoris que de s’ initier aux mystères dénués de tout intérêt de la Sainte église apostolique et romaine, proposa une réponse étonnante qui plongea Madame S..L… dans des abîmes de perplexité.
« Le nom de dieu : c’ est DOUIL ! »
Pressé de fournir un complément d’ explications, l’ enfant confirma sa réponse, ajoutant qu’ à la maison, cette divinité était régulièrement invoquée sous ce nom. L’ heure était grave ! il y avait il au sein de cette paroisse reculée des monts d’ Arrée la résurgence d’ un culte ancien ou d’ une superstition émanant de croyances Celtes que l’ on croyait disparues depuis des siècles ? La famille était pourtant connue pour une piété de bon aloi fleurant bon son orthodoxie la plus complète. Laissant pour plus tard des explications plus approfondies, et ne souhaitant pas questionner la famille sur ce sujet ô combien délicat, Madame S..L.. se confia à l’ abbé Belbeoc’h qui fut aussi surpris que sa paroissienne et fit remonter l’ affaire à l’ archevêché. La question fut prise très au sérieux, car la hiérarchie catholique ne badinait pas sur les déviances. On fit donc appel à des linguistes distingués et des spécialistes de l’ histoire religieuse pour éclaircir le mystère.
Les archivistes paléographes de Quimper, mis à contribution proposèrent plusieurs explications, dont certaines franchement inquiétantes.
 
 
]La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Pieta10
 
 
 
Une première proposition rapprochait ce nom de certaines inscriptions constituées de séries d’initiales que l’ on retrouve sur plusieurs façades granitiques d’ ensembles paroissiaux bretons et qui résument sous une forme condensée des concepts plus développés. Ainsi le mot D.O.U.I.L pouvait désigner Dieu sous l’ abréviation d’ une suite de termes latins : « Deus Omnipotens Universalis Imperator (et) Legisdoctor » c’ est à dire : « Dieu tout puissant, ordonnateur et maître suprême de toute chose ». L’ orthodoxie de l’ appellation était rassurante, mais on ne pouvait que s’ étonner de retrouver cette formulation dans la bouche un peu frustre d’ un Marcel aux préoccupations généralement bien plus prosaïques. Beaucoup plus inquiétante était l’ interprétation donnée par le chanoine exorciste en titre de l’ archevêché, versé du fait de sa fonction dans les sciences occultes et autres croyances démoniaques. Il voyait dans le terme une évocation de Satan : le mot DOUIL ayant pu être extrapolé du terme DOVIL, le U s’ écrivant couramment V dans les écritures anciennes et le O ayant pu, au hasard des transcriptions et des époques remplacer un E particulièrement malencontreux et ainsi faire perdre le sens premier du terme DEVIL, nom redoutable du démon dans la langue anglaise…Notre exorciste se voyait déjà investi d’ une mission évangéliste au sein des monts d’ Arrée, couronnement mérité d’ une carrière toute dévouée à la chasse aux démons et autres créatures diaboliques, d’ autant que cela faisait un certain temps qu’ il n’ avait pas eu l’ occasion de pratiquer sa redoutable fonction. et comme on dit trivialement : « le goupillon le démangeait singulièrement !... ». On rappela alors fort à propos qu’ un ermite avait érigé un temple du soleil près du Roc’h Trévézel et bâti un mur cyclopéen sur lequel étaient gravées d’ étranges invocations. De mauvaises langues insinuèrent perfidement qu’ il n’ était guère étonnant que ce village qui avait donné naissance à un poète célébrant les vertus du cidre et de ses buveurs ( Frédéric Le Guyader ) se laisse aller à de pareilles déviances, ajoutant qu’ à leur avis la création d’ une « école du diable » concurrençant honteusement les pieuses écoles Sainte Thérèse et Saint Michel n’ était sûrement pas étrangère à l’ origine directe de cette hérésie. La mode croissante des « festoù noz » et leurs enlacements équivoques menés au son lascif de l’ accordéon de Victor, le musicien patenté du bourg, avait également sûrement mené une population ivre de jouissances aux bords de l’ abîme impie !!...bref, Sodome ( alias Brasparts ) n’ avait que ce qu’ elle méritait….
 
La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Proces15
 
 
Quoi qu’ il en soit, le problème demeurait entier, il convenait de le tirer au clair. Marcel fut donc dûment convoqué par l’ abbé Belbéoc’h flanqué de quelques uns de ses conseillers de fabrique les plus zélés.
Quel ne fut pas l’ étonnement de l’ Abbé quand Marcel, sommé d’ en dire plus sur cette divinité répondit : « mais c’ est vous, aotrou person, qui m’ avez dit que le nom de Dieu c’ était DOUIL ! et vous le répétez tous les jours, et même à la messe ! » Sentant sa raison chanceler, monsieur le recteur demanda plus d’explications à l’ enfant éploré. Celui-ci poussé dans ses retranchements commença alors à réciter le credo :
« Je crois en Dieu le Père tout-puissant, créateur du ciel et de la Terre, et en Jésus Christ, son Fils unique, notre Seigneur qui a été conçu du Saint Esprit, est né de la Vierge Marie, a souffert pour nous sous Ponce Pilate, a été crucifié, est mort et à été enseveli, est descendu aux enfers, est ressuscité des morts le troisième jour,
est monté aux Cieux, est assis à la droite de Dieu le Père, tout-puissant d’où il viendra juger les vivants et les morts… » « vous voyez bien aotrou person que c’ est DOUIL qui viendra juger les vivants et les morts ! »
 
 
La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Mont_s11
 
 
Dire le soulagement général de l’ auguste assemblée serait un euphémisme !
L’ éclat de rires qui accueillit la déclaration du catéchiste était révélateur de l’ inquiétude réelle qui avait taraudé la paroisse et ses plus fidèles serviteurs.
Dans la crainte du ridicule que n’ auraient pas manqué de souligner les suppôts de l’ école sans Dieu, on se hâta d’ enterrer cette péripétie dans les oubliettes de l’ histoire, et ce n’ est que plus d’ un lustre après que je me risque ( avec les précautions d’ usage et en couvrant d’ un prudent anonymat les principaux protagonistes de ce cataclysme ) à divulguer les dessous de cette hérésie qui fit trembler à l’ époque le Saint Siège sur ses bases…. non je n’ exagère pas !....
 
Toute ressemblance avec des faits réels ne serait absolument pas fortuite


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Patrice Ciréfice
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Patrice Ciréfice


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MessageSujet: Re: La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS   La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Icon_minitimeDim 25 Nov - 13:39

Voici un texte particulièrement intéressant qui plait vraiment beaucoup.
Avons-nous l'autorisation de l'auteur pour le proposer à la publication dans le journal communal ?
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http://gw4.geneanet.org/index.php3?b=padraig1
kelenn

kelenn


Nombre de messages : 48
Localisation : Saint Brieuc
Date d'inscription : 25/12/2009

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MessageSujet: Publication dans le journal communal   La véridique histoire de la vénérable secte braspartiate des DOUILIENS Icon_minitimeDim 25 Nov - 17:39

Bonsoir,

C' est avec grand plaisir que je pourrai partager ces souvenirs d' enfance avec ceux des braspartiates qui se souviennent encore de la famille Quélen...Serait il possible que la mairie m' en envoie un exemplaire ?

mon adresse :

Henri Quélen

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

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Merci

Henri Quélen


Dernière édition par kelenn le Mar 22 Jan - 23:29, édité 1 fois
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